La superficie des terres agricoles québécoises continue de diminuer, mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, la plus grande partie des pertes n’est pas attribuable à l’activité humaine, mais bien à l’abandon des cultures au profit des forêts, un phénomène que l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) appelle l’enfrichement. Publié à 10h45 Pierre […]