Propos recueillis par Julie Clarini et Rémi Noyon
Publié le , mis à jour le
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Entretien Dans « Coulée brune », le traducteur, spécialisés dans les textes nationalistes allemands, s’en prend au confusionnisme politique et à la dégradation de la langue publique. Entretien.
Olivier Mannoni, traducteur de « Mein Kampf », alerte dans un nouvel ouvrage sur les usages néfastes de la langue.
La stigmatisation de l’adversaire, réduit à un stéréotype, ou la politique de la petite phrase sont des marqueurs d’une rhétorique réactionnaire de plus en plus répandue.
Vous commencez le livre en évoquant une pente descendante. La brutalisation de la langue politique que vous dénonciez dans votre livre précédent, « Traduire Hitler », s’est donc aggravée ?
Olivier Mannoni J’ai, comme traducteur, développé une sensibilité particulière au langage e…
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