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Sandrine Bonnaire dans « L’Amante anglaise », de Marguerite Duras, mise en scène par Jacques Osinski. PIERRE GROSBOIS Et soudain, l’imparfait a pétrifié le théâtre. Avec ce temps de l’indicatif qui maintient le passé révolu dans un semblant de survivance, avec ce temps au goût d’inachevé dont elle ne se prive pas, Marguerite Duras immobilise le théâtre […]